Sous le joug colonial français, Haïti était la perle des Antilles. nos flores se rayonnaient, la nature fleurissait, la terre produisait beaucoup. En dépit de tout, c'etait l'inégalité sociale qui régnait. On ne vivait pas dans un état de droit.
De la colonisation espagnole en passant à la colonisation française pour arriver à la colonisation américaine en 1915, Haiti a été toujours un paradis pour les étrangers et un enfer pour les autochtones.
De nos jours, on peut être stagiaire partout dans le monde, cependant arriver en Haiti, on travaille comme expert, il suffit qu'on a la peau claire.
De l'autre bord, nos cadres prennent la fuite à la recherche d'une meilleure vie.
Dans cette même lignée, et cela n'est pas un secret pour personne, la jeunesse haïtienne ne voit pas son avenir dans le pays. La jeunesse se sent inconfortable dans le mode de fonctionnement de la société haïtienne. Déjà il n'existe pas une politique bien définit pour la jeunesse dans les projets sociaux. Les jeunes se livrent à eux même. Par conséquent, beaucoup d'entre eux se désistent.
Nos infrastructures sont délabrées, disfonctionnelles et souvent mal occupées. on ne garantit pas la sécurité publique, d'ailleur nos infrastructures routières et sanitaires sont maltraitées. Du point de vue alimentaire, la société est très vulnérable et on est dans l'incapacité pour en apporter des solutions. L'insécurité alimentaire à l'echelle nationale touche environ 4 millions de personne. Une partie importante vivant dans des conditions très précaires <<lenouvelliste>>.
Nos infrastructures sont délabrées, disfonctionnelles et souvent mal occupées. on ne garantit pas la sécurité publique, d'ailleur nos infrastructures routières et sanitaires sont maltraitées. Du point de vue alimentaire, la société est très vulnérable et on est dans l'incapacité pour en apporter des solutions. L'insécurité alimentaire à l'echelle nationale touche environ 4 millions de personne. Une partie importante vivant dans des conditions très précaires <<lenouvelliste>>.
Du point de vue environnemental, de la justice sociale, nous sommes dans la fragilité.
Après tous ces constats, je me demande, est-ce que se sont ceux qui n'ont pas la possibilité d'aller ailleurs qui sont restés en Haiti?
Suivant la complexité de la question, le bon sens est de mise pour pouvoir donner une réponse proportionnelle. Alors, il faut tenir l'espoir, déjà on ne paie pas pour rêver, nous pouvons toujour rêver. D'ailleurs l'energie est là.
H8aiti a une température très agréable, nos plages, nos sites historiques, notre histoire constituent un atout qui peut nous permettre de décoller.
peut-on l'espérer encore?
Je crois que oui! La jeunesse soit toujours debout et pour que cela puisse changer, il faut lutter jusqu'au bout.
Notons que dans notre pays, le carnaval a plus d'importance que l'école, les activités nocturnes sont subventionnées, par contre, les activités qui visent l'éducation sont traitées en parent pauvre. Une Haïti, où les chimères ont plus d'importance que les intellectuelles, les malhonnêtes ont plus de valeurs que les gens honnêtes.
Là où on ne respecte pas les valeurs. On demande aux jeunes d'aller à l'ecole et ensuite à l'université, puis, ils restent dans le desepoir.
Notons que dans notre pays, le carnaval a plus d'importance que l'école, les activités nocturnes sont subventionnées, par contre, les activités qui visent l'éducation sont traitées en parent pauvre. Une Haïti, où les chimères ont plus d'importance que les intellectuelles, les malhonnêtes ont plus de valeurs que les gens honnêtes.
Là où on ne respecte pas les valeurs. On demande aux jeunes d'aller à l'ecole et ensuite à l'université, puis, ils restent dans le desepoir.
C'est un profond regret pour moi quand je fais la radiographie de la vie quotidienne de mes compatriotes, certains d'entre eux mangent environ trois fois par semaine. Les gens honnêtes deviennent mendiants. Il faut que quelque chose change pour les dix ans qui viennent. Malgré la misère, la souffrance, le désespoir, nous devons garder l'espoir que les choses pouront changer. Simone de Beauvoir nous dit:" Dans toute les larmes s'attarde un espoir". Tout n'est pad finit bien que nous assistons notre suicide imposé par les belligérants, n'oubliez pas que nous sommes les garants de notre avenir.
Il faut que nous savions que Dieu exauce toujours la prière des opprimés. Dans un esprit de mutualité, nous pouvons brisser la chaine de la domination mentale qui nous embrasse. Unissons notre force, marchons la tête altière vers la révolution. Un jour nous pourrons dire que la lutte était difficile mais nous remportons la victoire, et que chaque haitien aura la chance de boire de l'eau potable quelque soit sa classe sociale.
Pour qu'Haiti soit attrayant, la contribution de chacun de mes concitoyens pour le changement est une obligation.
Dans le vivre ensemble, nous pouvons faire des exploits!
Auteur: JEAN Joanès,
étudiant en psychologie (L1)
à l'UNIVERSITÉ
d'ÉTAT d'HAÏTI.
Pour qu'Haiti soit attrayant, la contribution de chacun de mes concitoyens pour le changement est une obligation.
Dans le vivre ensemble, nous pouvons faire des exploits!
Auteur: JEAN Joanès,
étudiant en psychologie (L1)
à l'UNIVERSITÉ
d'ÉTAT d'HAÏTI.